La naturopathie : qu'est-ce que c'est? Dans quel cas consulter?
"Le microbe n'est rien le terrain est tout" Antoine Béchamp
La naturopathie est définie par l'Organisation Mondiale de la Santé comme une médecine traditionnelle occidentale.
Le but du naturopathe est de restaurer l'état de santé au plus haut degré possible, en corrigeant les habitudes de vie grâce aux facteurs naturels de santé (l'alimentation, l'activité physique, la régulation du stress etc.).
La consultation "bilan" vous permet donc d'optimiser votre santé, que ce soit pour un problème particulier ou dans une démarche globale et préventive, grâce à un entretien d'environ 2H00 (appelé "anamnèse") où vous seront délivrées des recommandations personnalisées.
La naturopathie est donc une thérapie holistique c'est-à-dire qu'elle s'intéresse à la personne dans sa globalité et fait du patient un réel acteur de sa santé en lui livrant les explications et conseils nécessaires à sa propre prise en charge.
Installée depuis 2014, je vous accueille dans mon cabinet, à Villemoisson-sur-Orge (banlieue de l'Essonne à 20 km de Paris), du lundi au vendredi, sur rendez-vous.
Les consultations sont également disponibles à distance.
LA NATUROPATHIE POUR QUOI ?
La naturopathie vise à restaurer l'état de santé le plus haut possible de chaque individu.
Ainsi, le naturopathe intervient par exemple sur :
Les problèmes de poids
Les maux de tête
Les troubles digestifs
Les troubles du transit
Les problèmes de peau
Les maladies chroniques
Les problèmes articulaires
Le stress et la nervosité
N'hésitez pas à consulter les témoignages sur mon site ou sur Google où vous trouverez plusieurs cas de figure.
LE BLOG : actualités, cuisine, santé...
-
A la rencontre du bien-être et de la santé naturelle
- Le 06/02/2017
- Dans Actualités
EXCEPTIONNEL : SALON DU BIEN-ETRE ET DE LA SANTE NATURELLE LE DIMANCHE 12 MARS 2017 DE 14H A 18H00 !!!
Vous vous posez des questions sur les thérapies complémentaires ?
Vous cherchez des moyens naturels pour chasser le stress ?
Vous souhaiteriez savoir comment mettre vos atouts en valeur ?
Ce salon est fait pour vous !
Entièrement gratuit, ce salon regroupera de nombreux professionnels tant en thérapies alternatives (kinésiologie, ostéopathie, naturopathie, pédicurie ...) qu'en bien-être (Do-In, esthéticienne, coiffeurs, coiffeur énergétique ...).
Plusieurs animations sur le salon et des professionnels qui vous présenteront leur spécialités sous forme d'ateliers, jeux...
Visitez le site dédié à cet évènement et n'oubliez pas de vous inscrire auprès des professionnels !
http://rencontres.villemoisson.org
A très bientôt !
-
Le fluor, un toxique ...
- Le 14/12/2015
Le fluor, un toxique !
En mars 2014, la parution de la très sérieuse revue médicale "The Lancet"laissait perplexe : "le fluor est un des cinq neurotoxiques mis en évidence" ... Explications :
Ainsi, dans le monde, des millions d'enfants souffrent de troubles cognitifs (autisme, trouble de l'attention avec hyper-activité, dyslexie ...) qui seraient en partie dus aux produits chimiques industriels, affectant le cerveau en développement.
Vous pensez que le fluor est un oligo-élément essentiel à l'homme ? Pas du tout : en fait, le fluor n'est autre qu'un déchet industriel. Utilisé dans la réalisation de certains pesticides, on en retrouve dans l'alimentation humaine (thé, épinards, carottes, chou, certaines eaux minérales, le sel de table ...).
Dans les années 40, l'extraction de l'aluminium à partir de la cryolithe engendre une grande quantité de déchet dont notamment le fluorure de sodium. Pour palier au rejet de ce poison, les industriels l'emploient comme mort aux rats, agent de fixation des couleurs, pesticides etc. Mais cela demeure insuffisant pour abaisser suffisamment les stocks de fluorures, d'autant plus que les autorités gouvernementales refusent qu'ils soient déversés dans les rivières en raison de la mortalité élevée des poissons ... (pour en savoir plus sur l'histoire du fluor cliquez ici).
Et il faut bien avoir à l'esprit que les fluorures (fluor et ses composés chimiques) ne sont éliminés qu'en partie et que, ce qui n'est pas éliminé, est cumulatif et persistant (Travaux du Docteur Durbin) ...
Sur wikipédia, la toxicité chronique et par ingestion est donnée comme telle:
1mg / jour : Protection contre les caries
2 mg / jour : risque de fluorose dentaire
10 à 40 mg / jour : fluorose du squelette
20 à 80 mg / jour : fluorose ankylosante
100 mg / jour : retard de croissance
125 mg / jour : altération rénale
200 à 500 mg / jour : Dose létale
Cependant, le dentifrice est loin d'être la seule source de fluor : le thé, les produits de la mer, l'eau (apport autorisé), le sel (apport autorisé), certains médicaments contiennent des fluorures. Est-il donc nécessaire d'en ajouter dans le dentifrice ?...
Le fluor n'est pas un minéral essentiel : en toxicologie, le fluor est reconnu pour être au moins aussi toxique que le mercure et à peine moins que l'arsenic !
Ainsi, il est tout-à-fait normal de trouver des mises en garde sur les tubes de dentifrice ("ne pas avaler").
A la menthe, à la fraise, au citron ... Tout comme les premiers chewing-gums, le petit enfant à qui l'on dit de ne surtout pas avaler le dentifrice est bien incapable de le faire !
Cela représente une si petite dose ...
Il est donc légitime de se poser également la question du bien fondé de la complémentation auprès des petits enfants en fluor associée à la vitamine D (zymaduo pour ne pas le citer) ...
Faut-il continuer à utiliser des dentifrices au fluor ? D'autres explications ici.
Pour ceux qui ne veulent pas / plus utiliser de dentifrice fluoré, je vous invite à vous en procurer en magasin bio. On peut également trouver des recettes de dentifrices "maison" sur le net, très simples à réaliser. A vous de jouer !
Les dernières actualités du blog :
La vitamine D naturelle, c'est le moment !
Délicieuses gaufres, sans gluten, sans lactose, légères et rapides
derniers messages du livre d'or
-
Légalisation de la naturopathie au Portugal
- Le 27/12/2013
- Dans Actualités
Isabelle ROBARD
Docteur en droit
Dix années après sa première loi dans le domaine des médecines non-conventionnelles (I), le Portugal vient de voter en juillet 2013 une nouvelle loi (II) confortant et renforçant la légalisation des praticiens de santé non-médecins dans ce domaine et, en particulier, les naturopathes.
I. LA LOI CADRE DE 2003
Le Portugal où régnait un monopole médical à la française s’était déjà illustré en 2003 en faisant voter une loi cadre visant à encadrer 6 des 8 disciplines des médecines non-conventionnelles énumérées par la Résolution du Parlement européen du 29 mai 1997 dont la Naturopathie, à savoir : l’acupuncture, l’homéopathie, l’ostéopathie, la naturopathie, la phytothérapie et la chiropractie.
Cette loi cadre définissait les médecines non-conventionnelles comme « les médecines qui se fondent sur une philosophie différente de la médecine conventionnelle et appliquent des processus spécifiques de bilans et de thérapeutiques ».
Dans un second chapitre ce texte reconnaissait déjà l’autonomie technique et déontologique des professionnels et fixait comme tutelle celle du ministère de la Santé.
Une commission technique consultative composée d’un professionnel de chaque discipline et des ministères de la Santé, de l’Education et des Sciences et de l’Enseignement supérieur était créée ayant vocation à être consultée sur la mise en place notamment des critères d’exercice et de formation et qui devait cesser ses fonctions en 2005 dès lors que le processus d’exécution aurait été mis en place.
II. UNE NOUVELLE LOI EN 2013
Forte des avis formulés par la commission technique et des avis des commissions santé, sécurité social et Travail, une nouvelle loi qui entrera en vigueur en octobre prochain, vient de voir le jour, après une reprise du processus parlementaire en 2012.
Cette nouvelle proposition de loi s’est appuyée sur les orientations de l’Organisation mondiale de la Santé et sur les grandes lignes de la précédente loi de 2003, « évoquant une lacune depuis plus de 9 ans »
Le Conseil des ministres portugais a donc présenté en novembre 2012 sur la base de divers avis, une proposition de loi portant sur les 6 disciplines initialement visées, dont LA NATUROPATHIE.
Les grandes lignes de ce texte sont les suivantes :
- Reprise de la notion d’indépendance technique et déontologique déjà fixée en 2003, démontrant que ces praticiens de santé naturopathes ne seront pas des auxiliaires de santé agissant sur prescription médicale, mais des professionnels de premier rang d’accès ;
- Licence professionnelle à obtenir selon des critères de formation à venir (cycle d’études compatible avec les exigences fixées pour chaque branche). A cet effet, un Conseil consultatif pour les médecines non-conventionnelles est mis en place chargé de définir les critères d’exercice et de formation aves des représentants des disciplines concernées et des ministères (santé, enseignement supérieur, du travail), un représentant de l’Ordre des médecins, de l’Ordre des pharmaciens, des consommateurs ;
- Etablissement d’un Registre actualisé par l’ACSS (Administration Centrale du Système de Santé) et mis en ligne par l’administration ;
- Les critères de base juridico-déontologiques sont définis (information claire, loyale et transparente sur le pronostic, le traitement et sa durée, recueillir le consentement du consultant selon les Bonnes pratiques en vigueur dans la Profession, ne pas alléguer fallacieusement pour le praticien que sa pratique peut soigner les maladies, les dysfonctions et les malformations) ;
- Interdiction pour le praticien naturopathe de vendre des produits dans ses locaux de consultation ;
- Obligation d’être assuré en Responsabilité civile professionnelle.
Cette obligation ne fait que confirmer celle fixée par une Directive européenne de 2011.
Un point novateur dans cette réglementation comparativement au droit comparé européen, est qu’afin d’éviter toute éventuelle interaction, il est fait obligation au patient/consultant de faire savoir par écrit à son praticien naturopathe s’il prend des médicaments conventionnels ou naturels, ce qui permet d’établir dans la relation juridique patient/praticien, une obligation d’information/transparence et de responsabiliser le patient.
En cas de violation de la loi, des sanctions sont prévues à la fois pénale (amendes) et de suspension de la licence pouvant aller de 3 mois à 3 ans et jusque la radiation définitive.
Des dispositions transitoires sont également fixées, sachant que les décrets d’application devront être pris dans les 180 jours suivants l’entrée en vigueur de la loi du 22 juillet 2013, publiée en septembre 2013.
CONCLUSION
Cette loi qu’il faut saluer se situe dans la droite ligne des recommandations de l’Organisation mondiale de la santé en appelant aux gouvernements pour une intégration des médecines traditionnelles ou non-conventionnelles, non seulement dans les pays en voie de développement mais également dans les pays dits développés.
Cette loi se situe aussi dans la mouvance de la Résolution du Parlement européen du 29 mai 1997 qui en appelait à une harmonisation dans ce domaine indiquant notamment :
« Considérant l'importance d'assurer aux patients une liberté de choix thérapeutique aussi large que possible, en leur garantissant le plus haut niveau de sécurité et l'information la plus correcte sur l'innocuité, la qualité, l'efficacité et les éventuels risques des médecines dites non conventionnelles, et de les protéger contre les personnes non qualifiées ».
Enfin, le Portugal se situe dans la droite ligne de la réglementation de nombreux Etats membres de l’Union européenne tout en innovant en responsabilisant le patient, en l’obligeant à informer loyalement son naturopathe sur sa consommation de médicaments conventionnels et naturels.
Nous constatons que nombre des critères définis par la loi portugaise sont déjà mis en place en France à travers les organisations professionnelles sérieuses de la naturopathie.
A l’heure où la France revoit la réglementation des ostéopathes à travers les critères de compétence et de formation, gageons que ce texte portugais portant officialisation du titre de naturopathe serait susceptible d’insuffler une inspiration aux pouvoirs publics français, notamment suite à la parution en octobre 2012 des recommandations du Centre d’analyse stratégique de Matignon proposant la légalisation des naturopathes par la mise en place d’un label.
-
La Diphtérie
- Le 30/04/2018
Quelles sont les maladies contre lesquelles on nous vaccinait, avant le 1er janvier 2018 ?
En France, pour ceux nés avant le 1er janvier 2018, la seule vaccination obligatoire est la primo-vaccination du D.T.P.(Diphtérie, Tétanos et Poliomyélite), c'est à dire 2 injections à 2 et 4 mois et un rappel à 11 mois. Sur les 29 pays européens, seuls 10 pays obligent à la vaccination du D.T.P. (soit un tiers).
En France, après la primo-vaccination obligatoire, les rappels sont recommandés, sauf pour la poliomyélite où les rappels sont obligatoire jusqu'à l'âge de 13 ans.
La vaccination du B.C.G. ayant été rendue facultative à partir de 2007, elle reste cependant conseillée notamment en île-de-France. Mais contre quelles maladies nous protége t-on ?
-
Le lait ... dangereux pour la santé ??
- Le 17/08/2017
Le lait, un ami pour la vie ? Pas si sûr ...
Le lait est décrié depuis de nombreuses années, et tous ceux qui s'intéressent à la santé et à la nutrition ne peuvent l'ignorer.
Mais qui croire ? Les organismes officiels qui nous recommandent de consommer du lait pour renforcer nos os ?
Les petits mouvements qui s'élèvent de temps à autres, rappelant que le lait de vache est destiné aux veaux ??
Difficile de s'y retrouver...
Un récent documentaire d'Arte expose ci-dessous les avis divergents de plusieurs scientifiques :
http://www.naturopathe91.com/videos/le-lait-mensonges-et-verites-documentaire-francais-2017-hd.html
Mais le débat avance... Selon une étude suédoise publiée récemment dans le "British Medical Journal", boire plus d'un verre de lait par jour est délétère pour la santé et augmenterait notablement le taux de mortalité !
Plus d'explications ci-dessous dans l'article du canard enchainé :
-
Crèmes au chocolat sans gluten ni lactose (et sans oeuf)
- Le 10/10/2014
- Dans Cuisine
Petits pots de crèmes au chocolat au lait de riz
-
Crêpes sans gluten et sans lactose
- Le 23/01/2014
- Dans Cuisine
Bientôt la chandeleur !...
Pour une douzaine de crêpes (selon l'épaisseur) :
100 g d'*amidon de maïs
100 g de *farine de riz
4 oeufs
2 sachets de sucre vanillé ou une c. à s. de vanille liquide
500 ml de lait de *riz
1 c. à s. de rhum ou de fleur d'oranger
Mélanger les deux farines puis ajouter les 4 oeufs la vanille et le rhum ou la fleur d'oranger.
Bien mélanger puis ajouter peu à peu le lait de riz en remuant bien.
Laisser reposer une 1/2 heure.
Huiler une poêle en fixant, au bout d'une fourchette, un sopalin imbibé d'huile à l'aide d'un élastique.
Entre chaque crêpe, reposer la fourchette dans une petite tasse contenant de l'huile afin que le sopalin soit immergé.
Ces crêpes sont un peu plus difficile à décoller mais elles sont absolument délicieuses ! Laissez vous tenter ...
*J'ai substitué à la farine de blé la farine de riz et l'amidon de maïs car je trouve que ce mélange est le plus neutre en terme de goût. De même, j'ai choisi le lait de riz pour son goût assez neutre et sa bonne tolérance par rapport au lait d'avoine qui contient du gluten par exemple.
-
Nouvelle étude : Les pesticides bien plus dangereux qu'annoncés ...
- Le 11/03/2014
- Dans Actualités
Vous avez certainement déjà entendu parlé du Professeur Séralini.
Il a fait parler de lui avec son étude, très controversée, sur les O.G.M., fin 2012. Si, si, rappelez vous, les photos chocs de rats déformés par d'énormes tumeurs.
Le revoici avec une nouvelle étude sur les pesticides :
Il explique que le degré de toxicité des pesticides est évalué en fonction du principe actif. Le problème est que les adjuvants, qui ne sont pas dévoilés, modifient le principe actif, le rendant hautement toxique ...
Ainsi en testant 9 pesticides in vitro sur des cellules humaines et non plus seulement le principe actif , le constat est sans appel : 8 formulations sur 9 sont des centaines de fois plus toxiques qu'annoncées ...
Cette seconde étude, qui vient appuyer la première, a été relayée par sciences et avenir.
Bien sûr, Séralini a ses détracteurs. Quoi de plus normal quand on s'attaque au Roundup, produit phare de la trop célébre entreprise Monsanto !
N'oublions pas non plus que la France est le premier pays agricole d'Europe.
Ainsi, en lisant le rapport de l'inserm sur les pesticides, on apprend que les rendements de blé, par exemple, sont passés de 15 quintaux par hectare à 70 quintaux par hectare en un peu plus de 60 ans ...
"La France est un des premiers utilisateurs mondiaux de pesticides" peut-on lire un peu plus loin ...
La vigne n'est pas épargnée : elle représente environ 3% de la surface agricole en France et utilise environ 20% des pesticides à elles seules...
Extraits vidéos
-
Ne pas avoir peur de ses émotions
Serge Rafal reçoit le Dr Stephanie Hahusseau pour son livre "Laisser vivre ses émotions sans culpablité ni anxiété" paru aux éditions Odile Jacob. " -
CNRS - L'addiction au sucre selon le Dr. Serge Ahmed
Participez au prochain webinaire : 5 Indispensables pour Démarrer votre Detox du Sucre SANS Frustration -- http://urlz.fr/5q2t" -
Des huiles … pas si vegetales
Des huiles pas si vegetales France 5 Tournesol, colza, olive, arachide... les Français consomment chaque année quelque 1,7 million de tonnes d'huiles. Essentielles pour notre équilibre nutritionnel, ces substances fournissent des acides gras que le corps ne produit pas naturellement : oméga 3, 6 et 9 ainsi que de la vitamine E. Selon les nutritionnistes, les Français manquent d'oméga 3. En cause, une certaine méconnaissance du contenu réel des huiles. Celle faite avec des olives fait figure d'exception sur le marché hexagonal. En effet, ce sont essentiellement des huiles dites végétales, c'est à dire raffinées, qui sont proposées dans les supermarchés. Ces produits finissent dans nos fritures, plats cuisinés industriels, mayonnaise ou vinaigrettes. Elles ont pourtant perdu l'essentiel de leurs qualités nutritives et contiennent parfois des traces de solvants." -
Le lait Mensonges et vérités - Documentaire français 2017 HD
Le lait, ami ou poison ? Indispensables à une alimentation équilibrée et source de nombreux nutriments pour les uns, associés au développement de maladies pour les autres, les produits laitiers suscitent aujourd’hui une vive controverse. Enquête sur le lait et ses dérivés, sujet qui déchaîne aujourd'hui les passions. ------------------------------------ Bienvenue dans notre sélection de Documentaires Français ou traduit en français qui abordent des sujets divers et variés ! Si vous cherchez des informations en particulier sur un sujet en rapport avec cette vidéo, n'hésitez pas à nous envoyer un message, nous feront notre possible pour vous trouver un documentaire intéressant sur le sujet ! N'hésitez pas à nous suivre liker et commenter la vidéo ! Sans votre support on ne peut pas avancer :)" -
DIGESTION et ABSORPTION
Nous sommes ce que nous mangeons : digestion et absorption des aliments qui donnent les indispensables nutriments nécessaires à la vie. -
Epigenetique Nous sommes ce que nous mangeons !!!
Le terme épigénétique définit les modifications transmissibles et réversibles de l'expression des gènes ne s'accompagnant pas de changements des séquences nucléotidiques. Ce terme qualifie en fait ce qui résulte de modifications de l’ADN (par exemple méthylation des cytosines) ou des protéines liées à l’ADN (par exemple histones). Les changements peuvent se produire spontanément, en réponse à l'environnement, à la présence d'un allèle particulier, même si celui-ci n'est plus présent dans les descendants. Pourquoi deux vrais jumeaux ne sont-ils pas sujets aux mêmes maladies ? Parce que, pensent aujourd'hui les chercheurs, de nombreux facteurs influent sur notre organisme. Et, en premier lieu, l'alimentation. Celle-ci aurait une influence directe sur nos gènes et ceux de nos descendants. On appelle cela l'épigénétique. Ce type de régulation peut cibler l'ADN, l'ARN ou les protéines et agir au niveau du noyau ou du cytoplasme..." -
Cash investigation - Produits chimiques : nos enfants en danger / intégrale
En France et partout dans le monde, médecins et chercheurs lancent l'alerte sur les effets des produits chimiques sur le développement des enfants. Augmentation des cancers infantiles, multiplication des anomalies de naissance ou des troubles hormonaux, explosion de l'autisme : toutes ces pathologies pourraient bien avoir des causes environnementales. Les pesticides apparaissent en première ligne dans les rapports des chercheurs. Six multinationales contrôlent ce secteur : Syngenta, Bayer, Monsanto, Dow, Basf et Dupont. Elles règnent presque sans partage sur un marché colossal qui pèse cinquante milliards d'euros. Pendant un an, l'équipe de «Cash Investigation» a suivi à la trace leurs molécules. Certaines, dangereuses, s'invitent dans l'air que les enfants respirent tous les jours. Elise Lucet France 2 #cashinvestigation Toutes l'actualité de Cash Investigation http://www.francetvinfo.fr/replay-mag... https://www.facebook.com/cashinvestig... Twitter: @cashinvestigati"